Cannibalisme dans la rue des Marmousets
En plein cœur de la Cité, la rue des Marmoussets, aujourd'hui appelée rue Chanoinesse, habite le garage des gardiens de la paix motocyclistes, bâti sur les restes d'une bien lugubre histoire. Rapportée par de nombreux historiens, elle se rapproche pourtant de la légende urbaine car pour l'instant, aucun document officiel prouvant son authenticité n'a été retrouvé.
Tout commença en 1834 par l'association commerciale lucrative d'un pâtissier et d'un barbier. Les deux métiers ont peu de chose en commun pensez-vous alors. Cela dépend... et si le barbier écorchait et dépeçait ses clients et envoyait grâce à l'aide d'une trappe les morceaux directement dans la cave de la pâtisserie située en-dessous de son échoppe.
C'est alors que le pâtissier se mettait à la tâche, confectionnant les meilleurs pâtés en croûte de Paris ! Leur succès était énorme, il était tel que même le roi Charles VI leur passait régulièrement commande, et leur détermination à poursuivre ce macabre commerce n'en fut que plus grand.
Ce n'est qu'en 1837 que leur crime fut découvert le chien de l'une de leur victime alerta le voisinage du meurtre de son maître par de terribles aboiements. La maréchaussée découvrit alors une cave pestilentielle encombrée d'outils utilisés pour découper les corps des victimes.
Les deux compères furent arrêtés et condamnés à une peine de mort sévère : brûlés vif dans des cages de fer....
Il paraîtrait qu'il resterait entre une parcelle de pierre des murs de cette ancienne pâtisserie dans le garage des gardiens de la paix...
